Une alternative au marché actuel dont 9 fleurs sur 10 proviennent d’exploitations situées à des milliers de kilomètres. Actuellement, la majorité des bouquets que l’on trouve dans le commerce ont beaucoup plus voyagé que nous-même, le bilan carbone est considérable !
N’étant pas considérées comme produit alimentaire, les fleurs dites « conventionnelles » sont traités avec beaucoup de pesticides et d’herbicides et, n’oublions pas que les substances pathogènes peuvent être assimilées par notre corps par ingestion mais aussi par le toucher.
Vous pouvez retrouver mes fleurs fraiches d’avril à mi-octobre et mes créations en fleurs séchées ou pressées toute l’année !
Florakova c’est aussi l’histoire d’une prise de conscience environnementale, une lassitude de travailler assise, derrière un écran ; une envie de retrouver mes racines et de travailler au grand air tout en développant ma créativité et ma sensibilité.
C’est le désir de me créer un travail où je me sentirais à ma place, où j’aurais la liberté d’expérimenter et de croire en mes idées.
Après 10 ans passés dans le secteur de la musique, à la communication j’ai entrepris un parcours de reconversion avec l’entrée en BPREA Fermes agroécologiques en milieu urbain et périurbain à l’école de Breuil, à Paris, en mars 2020. J’y ai découvert la floriculture.
Ça a été une évidence. J’ai donc accès l’ensemble de ma formation sur ce désir un peu fou. J’ai construit mon projet au fur et à mesure des examens et j’ai rencontré Arthur et Victor des Jardins des Mondrots qui ont cru en mon projet et ont accepté de m’accueillir sur leur terrain.
A la fin de mon BPREA, en janvier 2021, j’ai suivi la formation en ligne de Floret Flowers (papesse mondiale de la production de fleurs à couper naturelles, sur petite surface). Mon entrée sur le terrain s’est fait en mars 2021 pour le pilote de ma première saison en tant qu’artisane floricultrice !
Cette aventure est aussi possible grâce au dispositif d’accompagnement de la SCOP Rhizome (Nid’Agri) en partenariat avec Bio en Normandie, le réseau des Civams Normands, Terre de lien et le soutien financier de la Région Normandie et du département de la Seine-Maritime, que je remercie du fond de coeur !